SLAVES

n.58 cm.76x101
semi-gloss on canvas

During colonization, the South American Indians, the Taino and Arauachi, did not have the physical requirements necessary to perform the toughest jobs and had resisted the smallpox epidemics introduced by the Spanish.
The blacks of Africa, by their nature more resistant, constituted from this point of view an alternative.
The slave trade between western companies was controlled by the French, Dutch, German and English. Of this huge movement, the most visible trace remains today, is a mixture of ethnic groups and languages in the Americas.
The population of the island of Hispaniola, was composed of three different ethnic groups: Europeans (about 32,000 in 1790) who held political and economic control, the gens de couleur (about 28,000) individuals free of Mixed Race and the African slaves (more than 500,000).
  Finally, there were the Maroon ex-slaves who escaped their masters, they lived completely unrelated to the rest of the colony.
The gens de couleur rebelled against the government, and the French National Assembly granted political rights to all free-born blacks and mulattos (without, however, changing the status of those who were still slaves). The slaves in the area of Cap-Haïtien rebelled against their masters and On 1 January 1804 the now former colony declared its independence, becoming only the second country in the Americas to declare independence, after the United Stat

ESCLAVES

n.58 cm.76x101
semi-lustré sur toile

Pendant la colonisation, les Indiens d'Amérique du Sud, le Taino et Arauachi, n'a pas eu les exigences physiques nécessaires pour effectuer les tâches les plus difficiles et avaient résisté aux épidémies de variole introduites par les Espagnols.
Les Noirs de l'Afrique, de par leur nature plus résistant, constitué de ce point de vue une alternative.
Le commerce des esclaves entre les entreprises occidentales a été contrôlé par le français, néerlandais, allemand et anglais. De ce vaste mouvement, la trace la plus visible encore aujourd'hui, est un mélange de groupes ethniques et de langues dans les Amériques.
La population de l'île d'Hispaniola, est composé de trois groupes ethniques différents: les Européens (environ 32 000 en 1790) qui détenaient le contrôle politique et économique, les gens de couleur (environ 28 000) des individus libres de Métis et les esclaves africains (plus de 500.000).
  Enfin, il y avait les Maroon anciens esclaves qui ont fui leurs maîtres, ils vivaient sans aucun rapport avec le reste de la colonie.
Les gens de couleur se sont rebellés contre le gouvernement, et l'Assemblée nationale française accorder des droits politiques à tous les Noirs et les mulâtres nés libres (sans toutefois changer le statut de ceux qui étaient encore esclaves). Les esclaves de la région de Cap-Haïtien se sont rebellés contre leurs maîtres et le 1er Janvier 1804, le désormais ex-colonie a déclaré son indépendance, devenant ainsi le deuxième pays dans les Amériques à déclarer son indépendance, après les États-Unis.
Le gouvernement haïtien a aidé Simon Bolivar, l'appui de sa cause de l'indépendance à condition que libérer les esclaves en Amérique latine.
Les puissances coloniales ont réagi en isolant Haïti par une sorte de cordon sanitaire qui était destinée à empêcher la propagation des révoltes d'esclaves. Certains historiens soutiennent que la «révolution» a inspiré de nombreuses révoltes d'esclaves d'Haïti dans les Caraïbes et aux États-Unis.
  Dans le tableau ci-dessous, nous voyons que le phénomène après la dix-septième siècle a duré pendant des siècles.
  L'année indique le moment où l'esclavage a été aboli et, comme vous pouvez le voir, Haïti a été le premier!

GLI SCHIAVI

n.58 cm.76x101

semi-gloss su tela

Durante la Colonizzazione, gli Indios sudamericani, Taino e Arauachi, non avevano i requisiti fisici necessari per svolgere i lavori più pesanti e non avevano resistito alle epidemie di vaiolo introdotte dagli Spagnoli.

I neri d'Africa, per loro natura più resistenti, costituivano da questo punto di vista un'alternativa. 

Il commercio degli schiavi sulla tratta occidentale era controllato da compagnie francesi, olandesi, tedesche ed inglesi. Di questo enorme movimento, la traccia più appariscente rimasta fino ad oggi, è la mescolanza di etnie e lingue sul continente americano.

La popolazione dell'Isola di Hispaniola, era composta da 3 diversi gruppi etnici: gli europei (circa 32.000 nel 1790) che detenevano il controllo politico ed economico, la gens de couleur (circa 28.000) individui liberi di sangue misto, e gli schiavi africani (più di 500.000).

 Infine, vi erano i Cimarroni: ex-schiavi che, sfuggiti ai loro padroni, vivevano completamente estranei al resto della colonia.

Le gens de couleur si ribellarono al governo, e l'Assemblea Nazionale francese concesse i diritti politici a tutti i mulatti e i neri nati liberi (senza, tuttavia, mutare lo status di coloro che erano ancora schiavi). Gli schiavi della zona di  Cap-Haïtien si ribellarono ai loro padroni e Il 1º gennaio 1804 l'ormai ex colonia dichiarò la sua indipendenza, divenendo così il secondo paese del continente americano a dichiararsi indipendente, dopo gli Stati Uniti.

Il governo haitiano aiutò Simon Bolivar, appoggiando la sua causa indipendentista a condizione che liberasse gli schiavi dell'America Latina.

Le potenze coloniali reagirono isolando Haiti attraverso una sorta di cordone sanitario che doveva servire ad evitare il propagarsi delle rivolte degli schiavi. Alcuni storici, infatti, ritengono che la "rivoluzione" haitiana abbia ispirato molte rivolte di schiavi nei Caraibi e negli Stati Uniti.

 Nella tabella sottostante, si nota come il fenomeno dopo il Seicento durò ancora per secoli.

 L'anno indica l'epoca in cui lo schiavismo fu abolito e, come si può vedere, Haiti è stata la prima!